Cette nouvelle sonne la fin d'un festival qui, en seulement trois ans, avait su se faire une place dans le paysage culturel français, et séduire un public toujours plus nombreux, par sa ligne musicale élégante, la singularité des artistes invités, la cohérence de sa programmation, sa démarche environnementale, son accueil VIP pour tous, son site bucolique au pied de la ville.
Il est sûr que le développement de ce festival s’est fait dans un contexte de disette budgétaire pour l'ensemble des événements culturels d’Angoulême, le Festival de la Bande Dessinée faisant lui aussi les frais de ces réductions budgétaires mais cette croissance, nécessaire pour ne pas être englouti par les mastodontes européens, semblait jouable, les collectivités ayant récemment encore, envoyé des signes forts aux organisateurs, laissant penser qu’elles suivraient…
…d’où la stupeur aujourd’hui en apprenant que celles-ci ne veulent plus faire cet effort, signifiant ainsi la mort en pleine jeunesse d’un événement plus que prometteur.
Afin que cette belle aventure ne s’arrête pas là, merci de signer et de faire circuler cette pétition.
Pourquoi ne pas demander à l'Etat de cesser ses désengagements. Notre président trouve plus intéressant d'aller voir un match de foot que d'expliquer aux maires de France pourquoi il leur enlève la majeur partie de leur ressources. C'est ça un Etat centralisateur. On se trompe de cible. Certes, Mr Lavaud n'est qu'un phraseur, j'avais eu l'occasion de le lui dire quand il nous avait promis monts et merveilles dans une lutte de parente d'élèves pour le maintien d'une école. Il avait fait des promesse, mais n'a jamais donné suite à quoi que ce soit! Juste du vent, et il n'était pas maire, juste conseiller général à l'époque. mais, si Angoulême a effectivement besoin d'un vrai maire, et qu'il ne l'est pas, ce n'est pas lui le responsable!
RépondreSupprimer